2024

Je me suis souvenue avoir lu, à l’école du dimanche de la Science Chrétienne, des récits bibliques où Jésus commençait ses prières en remerciant Dieu. J’ai prié à nouveau et, cette fois, j’ai remercié Dieu pour tout ce qu’Il m’a donné.

Mon mari a appartenu, à deux reprises, à une force internationale de maintien de la paix. Pendant les périodes où il était absent, j’ai appris à confier sa protection à Dieu, ainsi que la mienne et celle de nos enfants.

Science et Santé avec la Clef des Ecritures affirme que « rien d’inharmonieux ne saurait pénétrer l’être, car la Vie est Dieu » (Mary Baker Eddy, p. 228). Ma foi et ma confiance dans le pouvoir de Dieu ont entraîné la guérison complète.

Le véritable besoin est de permettre à la Parole d’éloigner la pensée du moi, jusqu’à ce que la conscience humaine – l’endroit où l’on rencontre le problème – cède à la paix céleste de la présence de Dieu.

Le message de Dieu était d’arrêter de prier spécifiquement pour moi-même et de plutôt prier pour toute l’humanité. Ce faisant, j’ai été immédiatement guérie.

J’ai appris à comprendre d’abord ce qui doit être changé dans ma pensée, puis à me tourner humblement vers Dieu, abandonnant ainsi les croyances matérielles que j’avais adoptées, et enfin à imprégner d’amour chaque pensée.

Quand on comprend vraiment que tous ont « un seul Dieu, un seul Entendement », la raideur de pensée cède à l’innovation, et la haine et la peur au pouvoir transformateur de l’Amour divin, Dieu.

J’ai appris que tout ce qui est bon a été créé par Dieu, et que si une chose n’est pas bonne, Dieu ne l’a pas créée ; elle n’a donc pas d’existence réelle.

Je me trouvais véritablement parmi les enfants bénis de Dieu plutôt qu’entre deux groupes opposés. Ils étaient tous sous la protection et la direction de l’Amour. Ils ne pouvaient pas blesser ni être blessés.

Cette guérison m’a beaucoup marquée parce que j’avais vraiment écouté Dieu et eu le sentiment qu’Il me parlait.